Mon ancien premier adjoint aux finances et à l’urbanisme pendant près de 12 ans (plus de 80 ans aujourd'hui) semble, à nouveau, oublier ses engagements et sa parole donnée aux administrés. Faut-il encore s'en étonner ?
Depuis son arrivée à la tête de la gestion municipale d'Idron par trahison et coups bas, les renoncements s'additionnent. Au frais du contribuable.
Que de déception, pour cette homme qui n’a pas souhaité se porter candidat tête de liste aux dernières élections municipales en 2020 sur la commune. Où savait-il, au contraire, qu’il n’aurait jamais gagné la confiance des administrés ?
Je vous explique :
Fière d'une commune en pleine expansion et de mon bilan de Maire de 2001 à 2020, je me suis portée candidate à ma succession en 2020. Les électeurs m'ont fait l’immense honneur de placer ma liste en tête des suffrages avec plus de 56% des voix et de remporter les élections municipales. Mon ancien premier adjoint était second sur ma liste "Continuons Idron".
Une fois réélu à mes côtés, et jurant sa loyauté, il négociait, en réalité, pendant le premier confinement, des postes rémunérés avec l’opposition et autres élus majoritaires en échange de leur vote pour sa personne en Conseil municipal.
Par manque de courage, il n'a pas daigné se porter candidat au poste de Maire le jour du vote par le Conseil. Le vote étant à bulletin secret, lui et ses "nouveaux amis" ont préféré faire imprimer des bulletins à son nom et les cacher dans leur veste avant de les déposer dans l'urne.
Depuis lors, une municipalité recomposée gère sans conviction ni vision la commune d'Idron. Cette dernière n'a plus de vice-présidence au sein de l'Agglomération Paloise, subit des sanctions financières suite à des erreurs en matière de constructions de logement sociaux de plusieurs centaines de milliers d'euros, augmente les impôts de plus de 10% et mène des projets XXL, sans cohérence avec les besoins des habitants. L'objectif étant de faire vite pour justifier d'un "bilan", sans penser aux conséquences financières sur la commune sur le moyen et long terme.
Pire encore, la municipalité soutient, sans scrupule un adjoint violent convoqué devant le tribunal correctionnel en février prochain pour une gifle donnée sur un autre élu en sortie d'une réunion municipale.
Le bilan va-t-il s’arrêter là ?
ANNIE HILD
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